Le hasard fait bien les choses : c’est le 6 janvier que je me décide enfin à apporter ma contribution à l’épiphanie du regard sur la peinture et plus généralement sur l’art proposée le 17 décembre par Jean Klépal sur son blog, « Épistoles improbables » sous le titre « REGARDER LA PEINTURE », à la suite de notre intervention au Musée-Muséum de Gap autour de la « lecture d’œuvre ».
J’éprouve le besoin de rappeler que le mot « Épiphanie » est d’origine grecque. Epiphaneia signifie « manifestation » ou « apparition » du verbe phaïnò, « se manifester, apparaître, être évident ».
À la lumière de cet atelier gapençais hautement jouissif, augmentée par l’éclairage apporté par le texte de l’ami Klépal, je prends davantage conscience de ce que je recherche dans l’art, et tout particulièrement dans la peinture, en tant que spectateur et acteur. Je vais donc parler ici en toute subjectivité…
Vous trouverez à la fin le commentaire de Jean sur le présent texte.

Le jour où Séolane rejoignit les étoiles, aquarelle, 46x61 cm, 2013 {JPEG}
Le jour où Séolane rejoignit les étoiles, aquarelle, 46x61 cm, 2013
Sans bruit, le silence avait décidé de se peindre, aquarelle, 31x41 cm, 2013 {JPEG}
‹Sans bruit, le silence avait décidé de se peindre, aquarelle, 31x41 cm, 2013


<br<

VIVRE LA PEINTURE