En guise de cadeau de Noël, ce colis plus ou moins recommandable, un peu plus lourd que d’habitude, réveillon oblige, et à peine piégé, tout juste lesté des quelques dragées au poivre de rigueur, histoire d’aider mes fidèles lecteurs à digérer une actualité plus graillonneuse que jamais… ou à la régurgiter si vraiment ça ne passe pas !
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CAFARD Je me rends compte que j’ai vraiment le cafard quand j’en arrive à lire des livres sur les camps de (…)

Le problème, quand on se relit, c’est qu’on trouve (heureusement !) toujours quelque chose à améliorer. J’ai donc quelque peu corrigé et complété ce qui suit : il n’est jamais trop tard pour essayer de mieux faire !
De A à B, une première pelletée de nouvelles remarques, tandis que le jardin se pelotonne doucement sous le linceul de neige cotonneuse dont de gros flocons pressés le recouvrent en silence.
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ACCORD Il y a une chose que nos gouvernants font (…)

Où ai-je la tête ? Sous prétexte que mes élucubrations sont d’abord expédiées à quelques lecteurs triés sur le volet, et qui n’en demandent peut-être pas tant, voilà que j’oublie de proposer sur mon petit globe la suite de la vingtième livraison des Remarques en passant ! Il n’est que temps de réparer ce calamiteux oubli, car s’annonce déjà à l’horizon, toute véhémence dehors, la vingt-et-unième cargaison des Remarques en passant, où les explorateurs (…)

Cet étrange roman politico-philosophique est censé se dérouler dans près de quatre cents ans, à une époque où le progrès a permis l’épanouissement d’une humanité enfin parvenue à maturité, et qui se penche avec effroi et une certaine commisération sur l’état de la France en 1770, il y a près de deux cent cinquante ans.
À vrai dire, beaucoup des critiques formulées par l’auteur semblent malheureusement encore tout à fait d’actualité, et entrent singulièrement (…)

13 octobre 2009
ÉJACULATEUR PRÉCOCE OU MANIPULATEUR COMPULSIF ? Compte tenu de l’invraisemblable promotion du pitoyable rejeton de notre avorton en chef, l’analyse proposée ci-dessous prend un certain relief : il ne peut pas être aussi stupide, c’est donc qu’il est encore plus pervers qu’on n’osait l’imaginer… Ne vient-il pas de rappeler que "désormais, ce qui compte en France pour réussir, ce n’est plus d’être bien né, (…)

Le vrai globe a continué de tourner en mon absence, et c’est heureux ! Je n’en attendais pas moins de lui… Mais ce petit globe, où je tente de m’ébattre avec quelques lecteurs non encore frappés par l’universelle pandémie de la pusillanimité consensuelle et l’abus de cette langue de bois qui grippe si efficacement les échanges humains, il ne tournera pas sans que je lui donne du grain à moudre ! Commençons par la suite des Remarques en passant… (…)

CITATION
On peut citer des blogs, à preuve cet extrait du blog de l’ami Dejaeger, intitulé
"Court, toujours ! Petites choses sans aucune importance" http://courttoujours.hautetfort.com/ :
_ RECORD BATTU ! ............................................À Alain Sagault
Elle ressuscita le second jour !
(As-tu plus court, Alain ?)
Oui, Éric, à mon avis du moins :
– Oups ! Pardon ! – De rien…
Deux lignes, mais seulement quatre mots !
Un poil plus long, (…)

De M à V, en une seule charretée, le solde des dernières Remarques, en attendant le numéro 20, et d’autres élucubrations : la vraie vie ne prend jamais de vacances…
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J’insère ci-après cette remarque de mon ami Jean Klépal, qui recoupe un certain nombre des miennes :
MARCHÉ DE L’ART « Il n’est pas dans le marché… » Etre ou ne pas être dans le marché. Van Gogh n’était pas dans le marché. Serait-ce une question, même pour un artiste ? (…)

Voici donc la dix-neuvième livraison de mes REMARQUES EN PASSANT, la première sur ce blog, déjà distribuée par ailleurs à quelques lecteurs avides de premières et de bonus. J’ajouterai chaque fois que possible quelques entrées, histoire d’entretenir la flamme (j’avais tapé la flemme, honni soit qui mal y pense !)… Commençons, ça va de soi, par la lettre A…
Rajouté ce 14 juin les lettres B, C et D !
Ce 26 juin, rajouté les lettres E, F, H, I et L
Il (…)

Il y a comme ça des saisons qui poussent au crime : au printemps, perdant toute retenue, je lâche parfois la bride, et il me pousse des boutons de poésie, une espèce d’acné poétique que d’ordinaire je dissimule sous d’épaisses couches de pommades ironiques, humoristiques, polémiques ou même philosophiques. L’explosion de joie qui saisit le vieux poirier et le couvre de fleurs, les pépiements de la nichée de charbonnières qui squattent le nichoir, je n’y tiens (…)